Déménagement [BILL]

Comme d'habitude, le voyage en avion fut une véritable torture pour le dreadé et un plaisir pour l'androgyne. Tom avait une peur bleu des avions mais tant qu'il était avec son frère ça se passait plutôt bien. Au moment des secousses, il prenait souvent quelques médicaments et dormait toute la fin du voyage. Ce n'était pas très recommandé mais c'était ça ou une crise d'hystérie. Bref, le trajet s'était fait sans trop de perturbations et les jumeaux étaient arrivés entiers. Pour une fois, ils n'étaient pas accompagnés des deux G. Ils les rejoindraient dans quelques semaines mais pour le moment, il était temps au groupe de prendre un peu de vacances. Quoi de mieux que New York ? Peut être les îles mais bon il faut bien changer de destinations de temps à autre.

Et puis ça faisait du bien aux jumeaux de se retrouver un peu tous les deux, ils n'avaient pas eu ces petits moments de tranquilité depuis quelques mois maintenant. Le dreadé avait dans ses mains deux énormes valises qu'il était entrain de rammener au pied de la porte d'entrée de la villa. Il ouvrit la porte puis laissa ses valises dans le couloir pour aller chercher le reste de ses affaires. Comme il en était persuadé, Bill n'avait toujours pas pris une valise, il attendait quand même pas que Tom se charge de faire le déménageur O.O

« Qu'est ce que tu glandes ?! Aller on a pas toute la nuit »

Tom rigola légèrement en reprenant la fin de ses propres affaires, en espérant que Bill ne lui demanderait pas de prendre les siennes parce qu'il était un peu fatigué le pépère. Une fois ses affaires déposées dans le couloir, il s'avança vers la pièce principale et resta un peu béa devant cette immence pièce qui se tenait devant lui.

L'avion avait été un réel plaisir. Sans penser aux nombreux ronflements de son jumeaux, Bill avait pu observer le paysage, l'Allemagne d'une vue aérienne était encore plus belle. Ensuite, il avait regardé les nuages, mangé son paquet de bonbons [des crocodiles], lu quelques magazines à ragots, pour finir par s'endormir son ipod aux oreilles. Le réveil retentit 20 minutes avant d'attérir, pour pouvoir admirer New York de l'avion. C'était gigantesque. Le paradis. Tout ecxité l'Androgyne sauta dans le premier taxi accompagné du Dreadé pour enfin, arriver dans leur villa. Elle était énorme, belle, formidable. Mais, voyant que son aîné venait de débarquer toutes ses valises, le cadet s'arrêta net. Il attrapa son sac à main, une petit sac, et rentra dans la villa, emerveillé.

+ Grand frère...

Un sourire apparut sur so nvisage éfféminé.

+ Pourrais-tu... Ammener mes valises s'il te plaît, j'ai mal au doigt de la main droite, je ne sais pas pourquoi... Et puis j'ai déjà ammené ça...

Son sac à main était posé dans l'entrée, tandis que la mini valise où il rangeait ses sous vêtements, ses bijoux, et son maquillage, était dans sa main gauche. Bill savait très bien que son flemmard de jumeaux allait raler, mais il finirait par accepter. D'ailleurs, enfin entre jumeaux, ils pourraient profiter l'un de l'autre. C'est pourquoi, en échange de ses valises, l'Androgyne déposa un doux baiser dans le cou de son ainé, pour ensuite filer dans sa nouvelle chambre.

Les jumeaux avaient toujours eu des gestes tendres entre eux et même des gestes interdits, mais ça n'avait jamais été plus loin que des baisés langoureux. Il faut dire que Tom ne se sentait pas prêt à prendre son frère et encore moins se faire prendre par son frère. Bref, le dreadé soupira bruyament en entendant les recommandations de sa moitié. Il en était persuadé, voilà il avait pris les deux plus petits sacs et le restent ce serait à qui de se les tapper ? Et ben au calamar. Sans trop broncher, il se dirigea vers le taxi et récupéra les deux grosses valises de Bill. Il demanda au chauffeur de prendre la dernière valise et de l'emmener pour quelques dollars supplémentaires.

Une fois toutes les valises dans la villa, le guitariste paya le chauffeur comme il le devait et il referma la porte d'un simple coup de pied. Le dreadé récupéra ses valises à lui et il commença à monter les escaliers. Arrivé dans une pièce qui devrait être sa chambre, il commença à tout déballer. Si Bill voulait commencer à ranger, il n'aurait cas monter ses valises comme un grand et puis c'est tout x). Ou alors attendre que Tom ait finit de ranger ses affaires à lui.

Tom venait de ressortir un lisseur, non c'est sur que ça pouvait appartenir à tout le monde sauf à lui.

« HEY C EST TOI QU A FOUTU TON LISSEUR DANS MES CALECONS ? »

Après que Tom ait ramené toutes les belles et grandes valises de son petit frère, Bill les monta dans sa chambre. Décidé, il ouvrit tous les placards, posa chaques valises, et, totu en chantant, il rangea sa chambre tel une femme de ménage. Chaques tee shirts étaient pliés et rangés dans une comode blanche. Ses caleçons ou boxers remplissaient les deux premiers tiroirs de cette même comode. Ses jeans ou pantalons, eux aussi pliés, étaient déposé dans une autre comode noire. Pour tout le reste, mis à part ces chaussettes qui étaient cachées dans un petit bac, étaient suspendus dans l'armoir qui était disposée au fond de la chambre rectangulaire de l'Androgyne. Toujours le sourire accroché au visage, le cadet avait enfin parfaitement ordonné sa chambre. Ensuite, sans perdre de temps, il passa aux bijoux et maquillage, qu'il avait rangé dans une belle coiffeuse en glace qui ornait sa chambre. A cet instant, il entendit de fortes paroles, alors, joyeux il se dirigea vers la chambre de son ainé, qui, énervé, lui balança son fer à lisser.

+ Oui, excuse-moi, je n'avais plus de place dans mes valises. Pas la peine de t'enerver.

Le bel ébouriffé attrapa d'une poignée seche son fer à lisser, et, sans un mot de plus, il s'enferma dans sa chambre. Il le déposa sur sa coiffeuse, alluma son ordinateur portable pour ensuite mettre en marche de la musique, sa musique d'ailleurs. Et pour finir, il termina de décorer sa chambre. Des petites lumières, quelques posters, des disques d'or et de platine, des photos, des gadjets. Tout pleins de choses. Une foie terminé, Bill ouvrit la fenêtre, histoire d'aérer, et descendit dans la cuisine se servir un verre de coca cola zéro.

Il s'embêtait pas lui quand même, comme il n'avait plus de place il squattait la valise de son frère.
Enfin, Tom n'allait quand même pas s'énerver pour si peu, il soupira simplement quand Bill récupéra son fer à lisser et le dreadé retourna à ses occupations à savoir défaire ses valises.
Des tonnes de casquettes, où allait il bien pouvoir ranger ça, c'est qui en avait un bon paquet ça allait lui prendre toute la place.
C'était décidé, il les laisserait dans la valise en la mettant au dessus de l'armoire. Tom repartit vers ses vêtements pour tout remettre en ordre puis il fois fait, il se laissa tomber en arrière sur le lit en regardant le plafond

C'est que ça l'avait épuisé le pauvre Tom de porter ses valises + celles de son frère et puis le voyage et tout ça franchement c'était crevant.
En plus le décallage horraire par contre Bill lui avait l'air de très bien s'y faire, il avait de l'énergie pour deux. Entendant ce dernier descendre dans la cuisine, le jeune guitariste se redressa et se leva du lit en poussant sur ses petites mains pour rejoindre son frère. Du coca zéro Oo il avait rien de plus anorexique ?
Tom lui voulait du vrai coca, bien sucré pour les hommes gros et fort x). Il sortit la bouteille de coca "normal" et bu à la bouteille.

Bill boudait légèrement depuis que son ainé lui avait mal parlé par rapport à son fer à lisser, et oui, il se vexait très rapidemment. PEu importe, il fit comme si de rien était, et bu son coca cola zéro. Terminé, il remonta dans sa chambre en sifflotant, inséra l'album de Michael Jakson, et s'allongea sur son lit, espérant que son jumeaux allait finir par le rejoindre. Auncuns signes, le dreadé devait sans doutes passer un coup de fil à une de ses conquêtes, à quelqu'un de la famille, ou bien à dormir car celui-ci semblait relativement fatigué. L'Androgyne n'avait pas sommeil, non, il était tout ecxité à l'idée d'enfin vivre uniquement avec son frère, et en plus, en Amérique. Ce sentiment, ne semblait pas réciproque. Tant pis, il ferma tout de même les yeux, chanta avec Mister Jakson, en bougeant ses hanches de gauche à droite sur le large lit, pour en même temps, se caresser le torse, comme s'il dansait en boîte de nuit, alongé sur un lit. Ses yeux restaient clos, ses lèvres s'entre-ouvraient, son corps se dandinait. Seul dans sa chambre, il se décontractait, tout en repensant à ce qu'il avait déjà vécu en tant que Bill de Tokio Hotel .

Tom regarda son frère partir et il se donna un coup sur le front si il était descendu c'était pour le rejoindre mais apparement Bill avait envie de le faire tourner en bourique. Déjà qu'il était fatigué mais en plus l'androgyne le faisait aller de partout dans la maison, monter redescendre pour remonter encore. Ah la dur vie d'un guitariste. Bref, le dreadé soupira en refermant la bouteille et il la reposa dans le frigo avant de le refermer aussi. Il ferma les yeux quelques instants avant de se décider à rejoindre son frère qui était surrement dans sa chambre. En montant les escaliers il entendit la voix de Michael Jakson accompagné de la voix de son double ce qui le fit plutôt marrer. Il poussa délicatement la porte et trouva son frère entrain de se dandiner sur son lit les yeux fermés.

"C'est bon t'es posé là ? Tu bouges plus ? Parce que j'en ai marre de te suivre"

Tom fit une tête sévère puis il fit finalement un petit sourire en s'avançant vers le lit de son jumeau.

Une raison de plus pour continuer de se dandiner et de se caresser sensuellement sur son lit. Toujours les yeux clos, le bel androgyne entendit à sa plus grande surprise, la belle et grave voix de son alter égo. Tom était visiblement enervait de suivre son cadet; d'abords de la maison aux chambres, ensuite des chambres à la cuisine, pour finir de la cuisine à sa chambre. Peu importe, il l'avait suivis, et c'était le principal. Amusé mais toujours les yeux fermés, Bill hocha la tête de gauche à droite. Non, il n'était pas stable, la preuve, il bougeait comme un verre de terre au centre de son lit deux places. Tom lui, était là, debout peut être. " So beat it - Just beat it " Voici les paroles qui l'excitaient. Sa chanson préférée de Michael Jakson était en route, et le jeune brun se déchainait comme il savait si bien le faire. Mais, sans faire trop attendre son ainé, juste l'amusé et le provoquer, il termina la chanson, et baissa le son. Les yeux de nouveaux ouverts, Bill s'avança et tira le dreadé par la main, jusqu'au lit. Une foie assis l'un face à l'autre, l'Androgyne lui souria timidement.

Je suis tellement content, d'habiter uniquement avec toi ... Le lieu je m'en contre fiche, le principale c'est que nous soyons tous les deux.

Les joues de Monsieur Bill Kaulitz avaient fortement rougis, mais peu importe, lancé dans son côté sentimentale, le jeune homme continua...

Je t'aime Tom, je n'oublie pas que tu vas recomencer avec les américaines, tout comme avec les Européenes. Mais je veux que tu me promette, que je serai toujours celui qui règne dans ton coeur... Grand frère, je t'aime ...

Ses joues étaient rouge vif, mais peu importe, le tout était sortit. Non pas faitgué mais plutot honteux, l'androgyne s'allongea lentement sur le lit, laissant son frère assis face à lui.

"Tu seras toujours ma priorité Bill, tu l'sais...Aucune fille ne t'arrive à la cheville j'te l'promets"

Bill était très gêné, alors, les yeux clos, il s'était étalé sur son lit, une main sur le ventre, l'autre sur la cuisse de son jumeaux. Visiblement, ces quelques paroles avaient touché le dreadé, qui ne perdit pas de temps avant de lui répondre. Une réponse claire et avec les mots de Tom, quoi xx) . Lorsque l'aîné ouvrit la bouche pour lui faire sa belle et petite déclaration, l'androgyne ouvrit les yeux, et le regarda, sincèrement. Un sourire, rassuré par son alter égo, Bill referma les yeux et hocha lentement la tête. Tom savait comme lui parler. Il était le plus parfait, normal, c'était tout de même son double.

+ Merci Tom, je t'aime .

Une foie de belles et tendres paroles échangées entre les deux frères, le dreadé s'allongea lui aussi, et le cadet se colla contre son torse. Mais, difficile de ne peut pas bouger, il se releva légèrement, se tourna face à Tom, et s'accouda. Une foie dans cette position, il le contempla, et se mordilla la lèvre inférieure, et poru changer, il se l'humidifia laissant apparaitre son piercing à la langue. Des signes provocants, que Bill aimait faire à son alter égo, sachant qu'il était le meilleur pour le rendre fou, même si les filles, n'étaient pas mal dans le genre. Il s'avança enfin, pour venir éffleurer ses lèvres ainsi que son piercing, mais se détourna pour venir lui offrir un baiser tendre sur la joue gauche.

+ Je m'ennuie....

"Tu veux qu'on sorte ?"

"Tu vas voir si tu vas t'ennuyer longtemps avec moi"

Bill continuait de faire la moue, laissant son frère trouver des solutions au problème imposé. Finalement, le Dreadé trouva une solution plus que banale, la chose que tout le monde propose... "tu veux qu'on sorte". Hum, c'était déjà bien, mais cela dépendait d'où il l'enmenerait. L'androgyne resta là, allongé, les mains sur le torse. L'ainé, quand à lui, ne perdit pas une seconde pour se retourner et venir se mettre à califourchon sur son cadet. Surpris, Bill imagina en un fragment de secondes, mille choses que son frère pouvait lui faire dans cete position, mais cela se termina par de nombreuses chatouilles, qui faisait rire le cadet, pour ensuite, le faire hurler.

AAAAHHHRRREEEEEETTTTHHHHHHHHEEEEEEE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! TOOOOOMMMMMM !!! hhhééééhhiiiiiihhaaaaa !!!!! Arreeeettttteeee je te diiiiihihihihhiiis !!!

Un véritable suplice était imposé par l'ainé, qui lui, était mort de rire. Mais, au bout de quelques minutes, Mister Kaulitz réussis à attrapper les deux mains de son jumeaux, pour le calmer. Ils étaient donc, dans cette position, et Bill souffla deux minutes. Les yeux dans les yeux, les mains dans les mains, dans cette position, ils ne bougeaient plus.

Ouuhhhff. Merci. Je ne m'ennuie plus !!!

Après ces quelques paroles, il rigola, et revînt poser son regard dans celui du Dreadé. Sans idées mal placées, le cadet lui avoua doucement..

J'adore quand tu es comme ça, enfin, sur moi quoi.

Un sourire inocent, pour ensuite un bref coup de langue sur ses lèvres, Bill resta imobile sur le lit, contemplant son alter égo, qui souriait.

Tout compte fait, je ne m'ennuie pas, quand je suis avec toi...

"Bon bah comme j'aime pas que tu t'ennuies bah je vais rester tout le temps avec toi"

"Roooooooooooon..pissh"

L'androgyne souriait, voyant son frère sur lui, le sentant collé à lui, dans cette position en plus. Mais, le plaisir fut rapidemment terminé, lorsque Tom s'écrasa, plus lourd que jamais, sur le corps de son cadet. Amusé peut être, il resta dans cette position, et fit mine de dormir. Pas aussi naïf, Bill soupira, et lui demanda calmement de bouger. Mais non, aucuns signes. Alors, le cadet, tout comme un gamin énervé, se mit à crier, à hurler, et à tapper son frère en lui exigeant de se décaler. Mais non, aucunes signes. Le dreadé ronflait, de faux ronflements bien entendu. Alors, sortant toute sa force, le bel ébouriffé fit rouler son frère, qui se retrouva sur le dos, à sa gauche, toujours en faisant semblant de dormir. Toujours dans son jeux, Mister Kaulitz monta, à quatre pattes sur son Dreadé préféré, et l'embrassa langoureusement dans le cou. Tom avait oser jouer avec les faiblesses de son cadet, les chatouilles, sa force. Alors, Bill se décida de jouer avec les faiblesses de son jumeaux. Sa plus grande faiblesse, le sexe, et surtout, le twincest. Alors, comme une bête sauvage [Le roi de la jungle dans l'âme] continua ses baisers dans le cou, pour enfin, arriver aux lèvres, histoire de déraper sur le piercing du jeune blond.

Fais dodo, cola mon grand frère, fais dodo...

"Arrête j'te jure ça va déraper"

L'androgyne y prenait réellement plaisir. Un petit secret ? Notre cadet est l'une des rares stars encore vierges ! Bill avait eu de nombreuses petites amies, et distribuaient des baisés langoureux très souvent, lors de soirées arrosées ou d'interviews imposées. Peu importe, le jeune homme n'avait jamais couché avec, un mec ou une fille. Mais, lorsqu'il partageait une chose comme ce qu'il se passe tout de suite avec son jumeaux, Bill ne peut se controler, comme s'il était possédé. Cela lui arrivait qu'avec Tom, allez savoir pourquoi. Bref, le Dreadé gémissait, mais pourtant, sans un sourire, il le repoussa séchement. Sous le choc, déçu, la tension redescendit sans perdre une seconde, et notre cadet, les larmes aux yeux se releva pour rapidemment quitter la chambre, direction la cuisine, où il se servit un verre de vodka qu'il bu cul sec. Non, il n'avait pas les larmes aux yeux pour un rien. A cet instant, il compris, que Tom préférait largement ses conquêtes à lui. Toutes, avaient réussi à le faire succomber à un moment ou à un autre. Bill, malgrè tout ses efforts n'y arrivait pas. Plein de honte et de désespoir, l'Androgyne, fixait la bouteille, et respirait fortement, comme prit par une crise de nerfs. Histoire de se détendre, et de faire passer sa tristesse, Mister Kaulitz rangea son verre dans le lave vaisselle, pour emporter la bouteille sur le canapé. Une foie la télé allumée, il tomba sur un film porno, et ne quitta pas la scène des yeux, buvant, par grandes gorgées, la bouteille de Vodka. Les personnes étaient d'ailleurs deux hommes. Ils arrivaient à se rendre fous, et pourtant, ils s'aimaient et passait des scènes romantiques. Bill lui, culpabilisait, de n'être qu'un bon à rien, de ne savoir qu'être un gamin.

* Pourquoi je ne suis pas aussi sexy et aussi attirant qu'eux. Pourquoi toutes les conquetes de Tom réussissent à lui faire tourner la tête, à l'enmener au septieme ciel. Je suis nul. Bon à embrasser, ou à faire la gueule. Je suis chou, mais je n'arrive pas à le rendre fou de moi *

La bouteille descendait beaucoup trop vite, et, Bill sentait déjà sa tête tourner, et ses yeux clignoter. Peu lui importait à présent, il ne voulait plus croiser Tom, et en une seconde de temps, il partis se réfugier dans le jardin, laissant le film homosexuel X à la télé.

"Putaiiin !!!"

"C'est pas bon pour toi, tu tiens pas à l'alcool"

L'Androgyne était donc là, au coeur de l'immense jardin verre, qui entourait leur villa. Assis, la bouteille de vodka en mains, le cadet se défia, de boire le plus vite possible.. Pret, feux, go... il débuta sa course contre la montre. Pour le moment, tout allait bien, il se sentait toujours aussi nul et aussi malheureux. Bill ne comprenait pas pourquoi son alter égo ne voulait pas, accepter d'être sa première foie. Il savait que Tom sentait ce sentiment qui les unissait, cette force si unique qui les rattachait. Non, le dreadé ne voulait pas, et c'était pour cela, qu'à chaques tentives de son cadet, il refusait gentiment. Pris par les remords et la culpabilité, l'Androgyne s'effondra en larmes, tout en buvant. Les perles d'eau roulaient sur son visage, et venait étaler son maquillage charbon qui entourait ses yeux chocolats. A présent démaquillé, les joues noires, le cadet continua sa course, décidé à gagner ce monodéfis. Pourtant, des sanglots surgirent. Lorsqu'il entendit une voix familière, celle de son frère aîné, qui s'était enfin décidé à le rejoindre, malheureusement trop tard. De plus, il lui retira sa bouteille de vodka, accompagnée de quelques remarques et rappels. A vrai dire, Bill s'en contre fichait pas mal, de sa santé, même s'il savait qu'il ne tenait pas l'alcool, et encore moins aussi rapidement, et encore moin assis en plein soleil. A cet instant, il aurait même voulu mourir. Mais non, le Dreadé semblait décidé, et vînt l'embrasser tendrement dans le cou, restant derrière lui. Grace à cette position, l'aîné ne pouvait apercevoir les larmes et le maquillage étalé sur les joues de son cadet, desemparé. Mais, loin de se laisser faire, Bill, oubliant tout ce qu'il avait ingurgiter, se releva soudainement. Surpris par mille étoiles qui venaient de lui monter à la tête en un rien de temps, l'androgyne s'effondra sur le sol d'herbe seche. Les yeux clos, il se redressa rapidemment, assis, face à Tom, il fit comme si de rien était. Enervé, il lui balança...

Je me fiche de ma vie, je veux mourir. Je ne t'aime plus, Tom. Va voir tes copines, allez, va-t-en.

Mais, amusé par sa chute, Mister Kaulitz resta immobile, jusqu'au moment où, il s'explosa de rire. Les trainées de maquillage, à présent sèches sur ses joues, les yeux à moitié rouges, il riait, la bouche grande ouverte, une main sur la tête. Il était bien. Bill ne pensait plus à son chagrin. Il se trouvait amusant, et plus nul.

Tant pis, je vais m'offrir un scotch baby.

Enfin, le roi de la jungle se releva tout en chantant à tue tête, et se dirigea vers la maison, marchant de travers, une main sur le front, comme si le soleil l'éblouissait.

"Il m'épuise IL M EPUISE !"

"J'démissione"

Bill riait toujours en entrant dans la villa par la baie vitrée, seul problème, elle était fermée mais lui ne l'avait visiblement pas remarqué, c'est pourquoi, le jeune homme rentra de plein fouet contre la glace. De nouveau assis sur le sol, il se caressa le front qui avait pris en premier, et se releva. Une foie dans la cuisine, il chercha la bouteille de wisky et se servis un scotch qu'il bu cul sec en faisant quelques bruits graves. Le dreadé n'en pouvait plus, chose compréhensible, mais à qui la faute ? Le cadet pris directement la bouteille de wisky, et en buvait, par petites gorgées à présent, car son estomac était noué, et son mal de tête empirait. Désespéré, Tom était remonté dans sa chambre, sans un mot, sans un regard. Son cadet, toujours dans son délire, et surmené par l'alcool beaucoup trop fort pour son physique, se décida de le suivre. Seul inconvénient, les marches des escaliers... tant pis, l'androgyne, la bouteille en main ou en bouche, commença par monter les escaliers. Arrivé à la huitième marche, il s'étala et trébucha dans les escaliers, pour venir s'écraser au départ. La bouteille rempli des 3/4 vînt s'exploser sur le sol, ce qui fit un bruit affreusement fort. Quant au corps de Bill qui venait de s'étaler, et sa tête qui venait de frapper contre une marche, ne se fit pas entendre. Une foie à terre, les yeux clos, la bouche ouverte, Bill se laissa emporter, dans un petit coma [je ne sais pas comment ça s'écris].

"M'abandonne pas, j'ai besoin de toi, je suis rien sans toi..."

Bill était toujours immobile, inconcient, et ne sentait rien. Son oreille droite saignait légèrement, et ses yeux étaient toujours clos. Le Dreadé n'avait pas perdu une seconde, et heureusement, il eut le reflexe d'appeler les pompiers qui arrivèrent juste après. L'Androgyne se réveilla, mais il n'avait pas la force de bouger, ni même les paupières... Malgrè ça, il entendit les quelques paroles de son ainé, et sentit tous ses faits et gestes. Rapidemment enmené par les pompiers, le jeune brun était en sécurité, aux côtés de son grand frère, qui, pour l'une des rares foies, avait pleuré. Les médecins avaient demandé au dreadé de s'écarter, et tous commencèrent les premières interventions sur le bel ébourriffé. Ils se rendirent compte qu'il était éveillé, et il fut forcé de répondre à des questions.

+ Qu'avez-vous fait ?
- Huuu ... je crois que je me suis disupté avec Tom ...
+ Non mais dans les escaliers !?
- Je buvais je crois, et... je voulais allez lui dire... huuuu... j'ai oublié
+ Donc, vous avez bu, et vous avez trébuché, la tête la première ?- Peut être ...
+ Il n'y a rien de grave pour l'instant, nous verrons ça après les examens.
- Tom ????????
+ Il vient. Mais ne pourra pas rentrer dans votre chambre, si vous voulez lui dire quelque chose c'est maintenant.
- Je t'aime, grand frère, je t'aime, je suis désolé, je t'aime .
+ Allé, nous y allons, attendez-nous en salle d'attente s'il vous plait.

Durant ce petit échange, Bill avait du garder la tête sur le côté droit, et n'avait pas eu la force d'ouvrir les paupières. Pourtant, des larmes pouvaient se voir sur ses joues. Il avait d'ailleurs parlé, éssoufflé tel un sportif après un gros effort. Bref, le Dreadé fut obligé à rester dans la salle d'attente vide, et l'androgyne fut enmener dans sa chambre, puis en salle d'opération. Quatre heure, après de nombreux examens, un médecin arriva face à Tom, des papiers en mains. Celui-ci semblait tranquille, et après s'être assis à droite du Dreadé, il souria.

+ Votre petit frère a fait un malaise dans les escaliers, ce qui explique sa chute. Sa tête a frappé contre une marche, ce qui exlique la perte de conscience ainsi que les saignements. Mais, je dois vous dire, qu'il a eu beaucoup de chance. Aucunes sequelles n'ont été trouvées. Votre petit frère va très bien, il se repose, mais reste éveillé. Il nous a expliqué que si vous n'étiez pas à ses côtész, il ne dormirait pas. Il a besoin de se reposer, alors, si vous le voulez bien, je vous demande de me suivre...

Une foie debout, le médecin souria, rassuré, pour ensuite ammené Tom dans la chambre où se trouvait, son cadet.

"Comment tu te sens ?"

Allongé au centre de son lit très étroit, sur le dos, les mains sur le ventre, tel une princesse de dessin animé, l'Androgyne fut réveillé par les douces paroles de son alter égo. Soulagé, il était enfin présent. Le cadet souria, et resta bouche bée, face à son aîné. Alors c'était vrai, il ne l'avait pas quitté depuis le début de l'accident. A son doux baisé, le jeune brun frissona, et lui attrapa doucement la main, pour le lui caresser. Il était fier de son Dreadé. Mais, étant très faitgué, Mister Kaulitz soupira pour enfn sortir quelques mots...

On va dire que ça pourrait aller mieux. Mais tu es là. Je suis désolé Tom...

L'Androgyne soupira, pour ensuite baisser le regard. Il avait honte de tout ce qu'il s'était passé, même s'il n'en avait pas un souvenir. Peu lui importait, ils étaient de nouveau réunis. C'est alors, qu'un médecin entra, pour leur expliquer que, dès que le souhaiterai Bill, il pourrait sortir, à condition de se reposer chez lui. Alors, le cadet souria, et regarda son ainé, lui demandant de rentrer, car il ne supportait pas les chambres d'hopital, beaucoup trop neutres à son goùt.

"Très bien, on rentre alors"

Le jeune dreadé avait eu tellement peur que désormais il pourrait tout faire pour son jumeau, même jusqu'à lui masser les pieds x). Enfin nan ne poussons pas le bouchon trop loin Maurice x). Bref, le jeune guitariste aida son double à se lever, il récupéra ses affaires puis ils sortirent après avoir signé des papiers. Ils montèrent ensuite dans un taxi que Tom venait d'appeler pour rentrer à la villa...
Maintenant à l'intérieur, Tom poussa la porte et se mit face à Bill en lui caressant la joue à l'aide de son pouce

"Pourquoi ?...Pourquoi tout ça ? parle moi.."

Tom avait besoin de savoir, savoir pourquoi Bill avait bu, pourquoi il était aussi bizarre depuis ces derniers temps...Il fallait qu'il lui parle...

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